vendredi 20 septembre 2013

Les ruines de Lousonna

A notre arrivée à Lousonna


Implantée sur les rives du Lacus Lemanus, à Vidy, l'agglomération gallo-romaine de Lousonna comptait peut-être 1500 à 2000 habitants, pour l'essentiels marchands, pêcheurs ou artisans.
A notre arrivée aux ruines, nous avons tout de suite remarqué qu'il y avait aussi de grands et beaux arbres, un grand étang où arrivait le lac auparavant, des jolies fleurs, des ruines de formes carrées ou en lignes droites. Il y avait de grandes et de plus petites ruines.
Pour expliquer l'histoire des ruines, il y a des boîtes moyennes carrées dans lesquelles il y a un dessin explicatif. A l'intérieur du boîtier, il y a une illustration qu'on peut observer grâce à un trou.

Les ruines

La basilique

A la fois tribunal, lieu d'échanges commerciaux et centre administratif, la basilique de Lousonna était divisée en deux nefs par une colonnade centrale et possédait une salle indépendante, probablement utilisée pour les procès ou les réunions du conseil municipal.

Le temple


Au milieu de la place et sur l'axe de la grande rue, le temple était notamment voué au culte obligatoire de Rome et de l'empereur. Le fragment d'un relief qui montre un combat des dieux et des géants, symbole de la victoire de Rome, a été trouvé aux abords des ruines. Malgré sa vocation officielle, il ne s'agit pas d'un temple classique avec fronton et colonne en façade mais d'un temple typiquement gallo-romain, à chapelle carrée et colonnades sur les quatre côtés. Il ne semble pas avoir été bâti avant le IIIe siècle avant notre ère.

Ce sont de très belles ruines et nous vous invitons vivement à y faire un tour lorsqu'il fait beau.

Elma et Medina
A l'intérieur d'un boîtier

lundi 9 septembre 2013

Notre classe

L'inventaire


Une grande salle de classe.
Une prof debout.
Un tableau mal effacé.
Deux grandes fenêtres côté bureau.
Le préféré écrit au tableau.
Douze casiers mal rangés.
Une salle orange aérée.
Les stores baissés.
Vingt et un élèves assis à étudier.
Perry devant en train de nous cocher.
Et un sac sur lequel j'ai failli m'encoubler.


Nadine
Jacques Prévert